Récapitulatif de la 7ième période

1 – RECAPITULATIF PARCOURS EFFECTUE

• durée                                     8 jours (hors trajets A/R et transfert Isola à Sonogno)
• distance parcourue             165,3 km, soit 20,66 km / jour
• dénivelée positive               10.171 m, soit 1.271 m / jour
• dénivelée négative              10.252 m, soit 1.282 m / jour
• Z max                                   2.672 m, à la Forcellina
• temps total étapes              63  h 53 mn , soit 8 h 00 mn / jour
• temps marche effective    58 h 40 mn , soit 7 h 20 mn / jour
• vitesse moyenne                 2,82 km/h

C’est le parcours le plus surprenant et difficile depuis notre départ, Trieste, parce que :

• Neige abondante continue dès 2 200 m ; aucune trace précédente.
• Très mauvais temps dans l’étape Isola à Plan San Giacomo, sans balisage visible et avec passage délicat en bord de cascade ; avec les amas de neige et ponts ouverts, ça ne passe pas à cette période.
• Particularité du Tessin, dont on franchit une crête chaque jour : logement en fond de vallée, montée conséquente à un col, par des pentes plutôt raides, et redescente de même ampleur en fond de vallée.
• Coût de l’hébergement, en petit hôtel plutôt qu’en refuge ; le budget s’en ressent.

Ne disposant que d’un calendrier serré, sans marge, la retraite du col Balsicio sur Isola compromet le programme, avec une météo encore médiocre durant 48 h. D’où le transfert par bus et train sur Sonogno.

Et la fermeture en semaine du refuge Maria-Luisa nous oblige à nous rendre au refuge Corno-Gries, en Suisse.

Enfin, l’étape la plus belle, Fieschertal – Riederalp, est réalisée (fractionnée)  par beau temps ; superbe !

Nous nous éloignons progressivement de la philosophie du parcours Via Alpina : usage du bus au lieu de marcher sur des routes goudronnées, court-circuit d’étapes peu intéressantes, en flanc de vallée desservie par des trains ou bus, et abandon sans regret d’étapes non compatibles avec notre calendrier.

2 – PERIODES D’OUVERTURE HEBERGEMENTS

Le seul hôtel de Prato-Sornico, Lavizzara, est fermé le mardi ; néanmoins, le patron viendra spécialement nous ouvrir une chambre ; restaurant à proximité.

Et le refuge Maria-Luisa n’est ouvert que les weeks-ends en juin.

Le refuge Burghütte, au-dessus de Fieschertal, ne dispose pas de douches, mais d’un …troupeau de bouquetins !

En dehors des centres accessibles en voitures ou remontées, nous serons les seuls randonneurs.

3 – BALISAGE TRACE

Le balisage Via Alpina existe dans les Grisons, mais est totalement absent dans le Tessin, les « enclaves italiennes » à proximité ainsi que dans le haut Valais.

Le balisage général est très irrégulier, excellent dans les Grisons et le Valais,  très variable dans le Tessin (présent aux départs d’itinéraires, mais absent plus haut), et quasi absent sur le territoire italien ; on est loin des Dolomites, et surtout de la mentalité de leurs dirigeants. Allez, un petit effort !

Des repères de peinture existent sur les rochers, pas toujours rafraîchis, mais peu dans le Tessin ou l’Italie.

4 – CONTROLE FICHES TECHNIQUES VIA ALPINA

Le parcours effectué peut légèrement varier (point de vue sur une bosse voisine, recherche d’itinéraire, situation de l’hébergement en plaine ou à un col) de celui décrit.

Le parcours effectué peut légèrement varier (point de vue sur une bosse voisine, recherche d’itinéraire, situation de l’hébergement en plaine ou à un col) de celui décrit.

Note :

• VA : Info du site Via-Alpina.org
• Relevé : Notre relevé GPS et montre altimètre